Nous parlons de gouvernance relationnelle pour souligner que chaque acteur est impliqué dans la manière dont les activités aquacoles sont menées.
Des réunions sont conduites avec les fermiers et les notables dans chaque village pour discuter des problèmes du quotidien et faire le point sur la production et les performances au moins 2 fois par trimestre (avec plus de 40 villages, cela fait un sacré nombre de réunions villageoises chaque année !).
Les associations en charge des aires marines gérées localement et les ONG internationales de protection de l’environnement (Blue Ventures, ReefDoctor, WWF, WCS) qui les appuient sont également consultées régulièrement. Un dialogue régulier est maintenu avec l’administration locale, régionale et nationale (communes, services déconcentrés, ministères) et les bailleurs de fonds afin d’inclure l’activité dans les politiques nationales et régionales de développement.
Enfin, une plateforme régionale réunissant tous ces acteurs se réunit tous les trimestres pour assurer le partage d’information et assurer une bonne coordination des activités. C’est cette approche inclusive qui permet un pilotage vertueux du modèle !