
J’ai toujours été passionné par les entreprises à forts impacts socio-économiques. En 2017, j’ai travaillé pour une ONG œuvrant dans la conservation marine, dont « l’aquaculture » était une activité alternative génératrice de revenus aux communautés sur le littoral du Sud-ouest de Madagascar. C’est comme ça que j’ai fait la connaissance d’Ocean Farmers. À l’époque la société venait d’ouvrir ses portes. Plus tard, j’ai travaillé pour une coopérative, en tant que Directeur des Opérations, contractant avec des producteurs locaux, des propriétaires terrains, pour la restructuration de la filière grains secs dans Atsimo Andrefana.
En 2023, une opportunité d’intégrer Ocean Farmers s’est présentée ; en seulement quelques années, son évolution m’a impressionné, avec un modèle d’aquaculture villageoise contractuelle, engagé sur 3 axes : technique, économique et environnemental. Ocean Farmers a su faire de l’algoculture une activité génératrice de revenus stables et durables pour les communautés côtières, permettant l’émancipation économique des femmes, le développement économique des villages et des communes. On ne peut être qu’engagé lorsqu’on travaille chez Ocean Farmers, où la gestion durable des ressources marines est primordiale.